Le 15 février, Claudio Zaretti propose son premier tour de chant parisien de l'année, seule en scène à l'Atelier du Verbe. L'artiste a accepté de répondre à nos questions.
Bonjour
Claudio Zaretti, certains disent que vous êtes un peu dans la lignée
d'un Enrico Macias ou Paco Ibanez, qu'en pensez-vous ?
Oh
oui joli tandem ! A propos d’Enrico Macias c’est le souvenir
des maxi 45 tours de mes parents avec ces mélodies si chantantes et
dans les paroles on entendait souffler le vent des exilés…et
sa guitare toujours présente dans la chanson ça me ravissait, et en
plus je la trouvais super belle sur les pochettes…
Et
Paco Ibanez c’est une grande découverte de mon adolescence, ces 2
albums dans lesquels il chante les poètes espagnols avec les dessins
de Dali, tournaient en boucle sur l’électrophone. Des
mises en musiques si ardentes, juste guitare-voix et sa voix si
nostalgique… j’adore !
Qu'est-ce
que cela signifie de monter sur une scène pour vous ?
Ce que ça signifie
c’est difficile à dire mais ce que je ressens c’est une façon
de repousser au maximum la tricherie, c’est un moment unique de
mise à nu et où, paradoxe, on se vêt peu à peu tout le long de la
chanson avec les mots et la musique ! Enfin bizarre ce que je
raconte … comme un strip-tease à l’envers ?
Vous
avez une discographie assez fournie. Imaginez que vous devez partir
sur une île déserte avec une seule chanson, ce serait laquelle ?
Vous
voulez dire une des miennes ? voilà une question qu’elle est
bonne euh je ne sais pas …actuellement…peut-être pourquoi pas
« Toi qui écoutes » ?
Merci !
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