Le 6 avril, la chanteuse gabonaise Tita Nzebi remonte pour la troisième fois sur la scène du Café de la Danse. Elle y défend son nouvel album 'From Kolkata'
Bonjour Tita Nzebi, certains disent que
vous êtes un peu dans la lignée d'une Myriam Makeba ou d'une Angélique Kidjo,
qu'en pensez-vous ?
Je pense que j’ai encore beaucoup de chemin à parcourir avant d’atteindre
le niveau de ces grandes dames en termes de notoriété et de carrière. Mais
c’est un honneur d’être classée dans cette lignée-là. Cela prouve que mon
travail a un certain potentiel.
Qu'est-ce que cela signifie de monter sur
une scène pour vous en 2019 ?
Monter sur scène en 2019, au Café de la danse, alors que j’ai commencé en
2006 dans les cafés et bars parisiens, signifie pour moi, qu’entre mes débuts
et maintenant j’ai franchi énormément d’étapes. Je suis particulièrement fière
de tout ce chemin parcouru car c’est le fruit d’efforts personnels. J’ai décidé
de tracer ma route et sur celle-ci j’ai croisé toutes les personnes qui
m’accompagnent dans ce projet.
Ce 3e concert au Café de la danse, pour la sortie de mon 2e
album est un bel accomplissement. J’espère qu’il sera beau et qu’il ne sera pas
le dernier.
Votre discographie s'étoffe. Imaginez que vous
devez partir sur une île déserte avec une seule chanson, ce serait laquelle ?
Aujourd’hui, le titre qui me vient en tête pour répondre à cette question
c’est Bol'a ngu, le premier titre sur mon précédent album Métiani.
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